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Of Potions and Riffs (Severus Rogue X OC)
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tome 1, Chapitre 16 « La Coupe de Feu » tome 1, Chapitre 16

« - Hé, Winter ! »

Oscar Mills rejoignit la pianiste dans la Grande Salle. La jeune femme était attablée en ce soir d’Halloween avec deux demoiselles de Beauxbâtons, bien à l’écart des Serpentards et surtout de Marcus Crux et de sa bande. La compagnie des françaises ne lui était pas désagréable. Après une session de composition dans la Salle sur Demande et un temps réservé à l’étude pour préparer les prochains cours de Botanique et de Métamorphose, elle avait abdiqué à la sensation de faim et avait fini par regagner le hall du château pour aller dîner.

« - Devine quoi ? Je pourrais être sélectionné pour être poursuiveur remplaçant voire titulaire dans l’équipe de Serpentard. »

Oscar lui dévoila un grand sourire de satisfaction, excité comme un enfant devant la vitrine d’un magasin de jouets. Malgré sa difficulté à s’intégrer au sein de la Maison Serpentard, il avait toujours eu l’ambition de jouer au Quidditch et de représenter ses couleurs. Winter leva un sourcil, étonnée :

« - Comment y es-tu parvenu ? Le capitaine est un ami de Crux et il ne peut habituellement pas te piffer parce que tu traînes avec moi.

- Crois-le ou non, mais c’est Rogue qui a imposé que je passe les tests prochainement pour rejoindre l’équipe. »

Winter manqua de recracher son jus de citrouille, créant au passage un sursaut chez les françaises, déroutées par une réaction aussi peu gracieuse contrastant avec l’image habituelle de la rockstar.

« - Rogue a quoi ? », répéta-t-elle, interloquée.

« - Oui, je n’y comprends rien non plus. Il m’a toujours méprisé. Mais peut-être que mes bonnes notes avec Madame Bibine ont influencé sa décision. »

Winter grimaça ironiquement.

« - Oui, tu es doué sur un balai. Je pense qu’il est encore capable de mettre ses appréciations subjectives de côté quand cela est dans l’intérêt de Serpentard. Sauf quand il s’agit de moi bien sûr. »

Elle souffla bruyamment et leva les yeux au plafond qui était orné de centaines de citrouilles en suspension dans l’air.

« - Je te jure, Oscar, je n’en peux plus. Il est monté à quatre soirs de retenue par semaine. Il me sucre même mon samedi. Je n’en peux plus de récurer sa salle de classe, sa réserve, et ces satanées chiottes dans les cachots ! J’ai dû m’acheter à Pré-au-Lard des vêtements exprès à sacrifier pour ne pas salir mes costumes et mes uniformes. »

Oscar se servit à manger à partir d’un saladier sur la table et répondit avec inquiétude pour son amie, remarquant les cernes noirs cerclant ses yeux bleu azur :

« - Je compatis. Il ne s’est jamais acharné autant sur une élève de Serpentard. Il ne t’a pas encore envoyée en punition avec Rusard également ?

- Non. Il semblerait qu’il préfère me surveiller personnellement. Et il prend un malin plaisir à rendre les tâches toujours plus ingrates et ardues. »

Le jeune homme s’essuya les lèvres avec sa serviette entre deux bouchées avant de changer délibérément de sujet pour ne pas enfoncer le clou. Il savait Winter particulièrement irritable ces derniers temps à cause de ses retenues. La sorcière avait l’impression de manquer constamment de temps pour sa musique et pour réviser ses cours, se retrouvant à parfois s’endormir très tard pour pouvoir terminer ses devoirs.

« - Et les auditions avec Flitwick alors ? Elles ont commencé ?

- Non, je n’ai même pas pu encore rencontrer le guitariste de Serdaigle qu’il devait me présenter, Robert Hayes. Je n’ai pas le choix, je vais devoir tenter la négociation impossible avec Rogue, sinon, ça n’aura jamais lieu. »

La compositrice soupira. Elle voulut rajouter quelque chose quand soudain, les lumières de la Grande Salle s’éteignirent d’un coup. Dumbledore s’était levé, suivi de l’ensemble du personnel habituel et des invités des autres écoles de sorcellerie. Barty Croupton, le Directeur du Département de la justice magique était ce soir également présent. Au milieu de la pièce avait été disposée la Coupe de Feu du Tournoi des Trois Sorciers. La flamme bleue dansait au milieu du calice, éclairant les nombreux visages juvéniles d’élèves d’une manière envoûtante.

« - À présent, voici venir le moment tant attendu : la sélection des champions. », annonça Dumbledore d’un ton solennel.

Sous les regards impatients et curieux, le vieux sorcier s’avança vers la coupe enchantée. Il caressa la céramique de l’objet avec ses mains et subitement, la flamme doubla d’intensité et se teinta d’une couleur rouge presque inquiétante. Un papier à moitié calciné s’envola hors de la coupe et atterrit dans sa paume.

« - Le champion de Durmstrang est…Viktor Krum. », lut à voix haute Dumbledore.

Aussitôt, un tonnerre d’applaudissements retentit, les vivats encore plus prononcés dans les rangs des braves de Durmstrang. Viktor Krum, déjà célèbre pour être l’un des joueurs de Quidditch du championnat mondial les plus jeunes et talentueux de sa génération, afficha un air conquérant et satisfait, semblant peu surpris de sa nomination. Drapé dans sa tunique de fourrure aux airs militaires, il s’inclina, entouré de ses camarades de promotion admiratifs. Igor Karkaroff, le directeur de Durmstrang, dévoila un rictus confiant, présentant ses dents jaunies.

Winter, assistant à l’ensemble de la scène depuis la table de Serpentard, ressentit un malaise en observant les expressions faciales du proviseur étranger. Elle ne savait vraiment pourquoi mais l’homme aux cheveux hirsutes et à la barbe pointue ne lui inspirait guère confiance. Son attention se reporta ensuite à nouveau sur Viktor Krum. Le célèbre attrapeur avait un corps entièrement sculpté, le crâne rasé et un air patibulaire et sûr de lui. Il était certain qu’il constituerait un adversaire redoutable et sans pitié. La compositrice ne lui avait, depuis son arrivée à Poudlard, jamais adressé la parole. La notoriété était probablement la seule chose qu’ils partageaient en commun. L’attention que Viktor Krum attirait à lui la soulageait d’une certaine manière. Les élèves du château, habituellement obsédés par elle, avaient en partie reporté leur intérêt vers le bulgare pour quémander des photos ou des autographes. Ce répit temporaire l’arrangeait plutôt bien, en somme.

Bientôt, deux autres noms sortirent de la Coupe de Feu. La française nominée pour représenter Beauxbâtons était Fleur Delacour. Winter avait échangé avec elle plusieurs fois lors de précédents repas. Fleur était une jeune femme jolie et bien élevée, issue d’une famille aristocratique. Bien que distinguée, elle pouvait parfois présenter un petit côté hautain pouvant refroidir certains. La musicienne n’avait jamais eu à s’en plaindre cela dit. Les deux étudiantes françaises ceinturant Winter applaudirent poliment, validant le choix de la Coupe de Feu en apparence mais peinant à masquer une pointe de jalousie.

« - C’est Monsieur Delacour qui va être fier. », caqueta la première avec un fort accent provenant de l’Hexagone.

« - Oui, la coupe est impartiale. Pour une fois, Fleur ne pourra pas être accusée d’être privilégiée par népotisme. », pouffa la seconde.

Le dernier champion annoncé fut le tendre Cédric Diggory, le golden boy de Poufsouffle. Beaucoup d’étudiants l’admiraient pour sa loyauté sans faille, son courage et sa gentillesse. Malgré ses nombreux atouts physiques indéniables et sa popularité auprès du genre féminin, il n’avait jamais pris quiconque de haut. Il apparut comme un choix juste et cohérent pour représenter Poudlard.

Sous les acclamations célébrant les champions désormais constitués pour le Tournoi des Trois Sorciers, Dumbledore se recula et se dirigea vers la table des professeurs. Barty Croupton révéla en même temps sur celle-ci la coupe du tournoi, brillant de mille feux. Ce magnifique artéfact, véritable travail d’orfèvre en verre et en argent, reviendrait à l’école dont le champion sortirait victorieux des trois épreuves. Mais alors que l’attention de chacun était portée vers le fond de la Grande Salle, un événement inédit advint. Les flammes de la Coupe de Feu rougeoyèrent une nouvelle fois. Albus Dumbledore interrompit sa course et se tourna avec une expression de stupeur et de gravité vers le brasier écarlate. Plusieurs professeurs, Rogue en tête, se levèrent de leurs sièges et s’approchèrent, dévisageant l’objet magique avec incrédulité.

Un quatrième bout de papier s’envola de la Coupe de Feu et se déposa délicatement, aussi léger qu’une plume, dans les mains de Dumbledore.

« - Harry Potter ? »

Un silence de mort s’abattit sur la salle.

« - Harry Potter ! », répéta le directeur de Poudlard, cette fois presque en vociférant. Winter ressentit une forme de contrariété dans sa voix comme elle n’avait jamais entendu auparavant.

Les regards se tournèrent vers la table des Gryffondors. Le jeune Potter, tout penaud, se leva. Winter reconnut Hermione Granger et Ron Weasley à ses côtés, qui affichaient une mine perplexe.

« - Tu crois qu’il a triché ? Peut-être qu’un septième année a mis son nom dans la coupe ? », murmura Oscar aux oreilles de son amie.

D’autres élèves se posaient la même question au même moment. La compositrice entendit le coin de table occupé par Marcus Crux et Drago Malefoy huer le tristement célèbre garçon qui a survécu.

Harry Potter se présenta devant Dumbledore. Ce dernier lui tendit froidement le papier sans lui dire un mot. Le visage de l’adolescent de quatorze ans se décomposa quand il lut son nom dessus. Il s’avança lentement, blanc comme un linge, vers la table des professeurs où se tenaient les trois autres champions. Il s’arrêta un instant en croisant le regard suspicieux et méprisant de Severus Rogue. Les yeux sombres du Maître des Potions, froids et creux comme des tunnels sans fond, le dévisageaient comme s’il cherchait à lire l’entièreté de son âme.

Harry poursuivit son chemin et se retrouva en compagnie de ses désormais futurs adversaires. Cédric Diggory lui apporta un sourire désolé et compatissant, tandis que Fleur Delacour et Viktor Krum semblaient sceptiques.

En raison de la tournure des événements, Albus Dumbledore, Igor Karkaroff et Olympe Maxime sortirent de la salle en trombe avec le pauvre garçon, suivis de près par l’ensemble des professeurs ainsi que par Barty Croupton, le représentant du Ministère de la Magie.

Les lumières de la Grande Salle se rallumèrent et la Coupe de Feu s’éteint, silencieuse et immuable.

« - Quel choc ! », s’écria Oscar.

« - C’est le cas de le dire… », murmura Winter.

La jeune femme se leva de son siège lentement. La foule d’élèves était en désordre. Plusieurs septièmes années prirent Hermione Granger et Ron Weasley à parti, les accusant d’être complices de la nomination frauduleuse de Harry Potter en tant que quatrième champion. Marcus Crux et Drago Malefoy se joignirent à la fête, les harcelant de manière évidente et assumée.

« - Qu’est-ce que tu en dis Oscar ? »

La question directe prit le Serpentard de court.

« - Moi ? Je ne sais pas, je n’ai rien vu tout comme toi…

- Je pense qu’ils sont innocents. C’est marqué sur leur tête. », déclara Winter.

Oscar Mills voulut répondre, peu certain et déboussolé face à la confiance aveugle que la jeune femme faisait à son pur instinct, mais Winter se dirigeait déjà vers la table des Gryffondors.

« - Arrêtez. », commanda-t-elle d’une voix calme et ferme.

En un seul mot, son aura et sa présence transparurent, plus palpables que jamais. Les nombreux septièmes années cessèrent leur harcèlement envers les amis de Harry Potter instantanément.

« - Winter Grail ? Tu les défends ? Toi, une Serpentard ? », s’enquit un Serdaigle, dérouté.

Des murmures s’élevèrent du cercle d’élèves formé autour de la scène. Hermione et Ron observèrent la jeune femme, hébétés face à cette aide inattendue.

Winter croisa les bras, sa stature féminine et élégante ancrée dans le sol.

« - Oui. Nous n’avons aucune preuve contre eux. Je ne vois pas comment des quatrièmes années auraient pu contourner la limite d’âge imposée par la coupe. Ne voyez-vous pas que ce qui est en train de se passer nous dépasse tous ? La Coupe de Feu est un objet puissant, une magie presque inviolable. C’est en tout cas en dehors de nos compétences à nous. »

Les étudiants écoutèrent Winter, à la fois subjugués par sa beauté singulière et son charisme. Elle était plus âgée qu’eux et le calme qu’elle parvenait à maintenir leur donnaient envie de la suivre incontestablement.

« - Elle a sûrement raison. »

Des murmures s’élevèrent de la masse d’étudiants. Les acolytes de Harry Potter continuèrent à fixer la musicienne avec une gratitude implicite.

Soudain, Marcus Crux, accompagné de plusieurs Serpentards de sixième année ainsi que de Drago Malefoy, sortirent des rangs. Winter grimaça en remarquant ses coéquipières de chambrée derrière lui. C’était une première. Elle ne se sentait pas proche d’elles, mais cela constituait la première fois qu’une inimitié claire se déclarait entre elles.

Marcus s’avança dangereusement vers Winter, se voulant intimidant et menaçant au possible malgré le fait qu’il était plus jeune qu’elle.

« - Toujours à te la ramener, la Sang-de-Bourbe ? »

Les étudiants de la Maison Serpentard ricanèrent de concert tandis que les élèves des trois autres Maisons lancèrent des cris de désapprobation. Drago donna un coup de coude amical à son complice de deux ans son aîné avant de s’esclaffer :

« - Regarde Marcus, ne serait-ce pas une réunion de sangs impurs ? »

Il montra Hermione Granger du bout du menton. Marcus Crux éclata d’un rire sinistre.

« - Ah oui, mais c’est un concentré de sale race que nous avons là. »

Winter rétorqua aussitôt en montrant les dents.

« - Répète ça un peu pour voir ! »

Plusieurs sifflets résonnèrent. Marcus s’avança davantage vers elle en paradant comme un Cocatris. Arrivé à sa hauteur, il lui glissa avec perfidie.

« -Tu te souviens comment ça c’est fini la dernière fois dans la Salle de Sortilège. On dirait que tu n’as pas compris l’avertissement, Grail. Je vais te réduire en bouillie pour de bon cette fois. »

Il dégaina sa baguette d’un geste vif, prêt à combattre malgré l’interdiction de duel au sein de l’école. L’ensemble des élèves s’écarta se préparant à assister à la confrontation.

« - Winter ! Winter ! », clamèrent les élèves de Gryffondor, Poufsouffle et Serdaigle en guise d’encouragement.

La jeune femme avait l’impression d’être au cirque romain, divertissant le peuple en tant que gladiateur. Marcus donna plusieurs coups de pieds dans les sièges qui lui barraient le passage avant de lancer sans prévenir un premier sort.

« - REPULSO ! »

Un jet de lumière frappa Winter en pleine poitrine et l’envoya valser quelques mètres plus loin. Son dos rencontra les dalles de pierres glaciales de la Grande Salle, un sentiment de déjà-vu la parcourant. Non, cela ne devait pas, ne pouvait pas se terminer comme la dernière fois. Elle se releva.

« - REDUCTO ! », lança Marcus.

« - PROTEGO ! », répliqua cette fois Winter.

La baguette de la sorcière dessina un bouclier translucide en face d’elle, pas aussi puissant que celui que Rogue avait conjuré dans la Forêt Interdite, mais suffisant pour détourner le sortilège offensif de son adversaire.

Winter enchaîna immédiatement avec un autre sort, désireuse de tester ses derniers progrès acquis en cours.

« - STUPEFIX ! »

Le sort atteignit Marcus, le faisant trébucher, mais un début de contre engagé par ce dernier lui permit d’échapper à l’effet de stupéfaction devant habituellement en découler. Le jeune tyran se remit d’emblée sur ses appuis, poussant un cri de rage. Il leva sa baguette, une lueur meurtrière brillant dans ses yeux. Winter se figea un instant. Elle ne lui avait jamais vu ce regard. Il lui était évident à présent que quelque chose chez ce garçon avait déraillé, quelque chose de très profond. Cela lui fit froid dans le dos.

« - CRUCIO ! », aboya Marcus.

Plusieurs élèves étouffèrent des cris d’épouvante et de surprise. Winter n’avait jamais entendu parler de ce sort. Elle n’en connaissait pas les effets. Mais un instinct de préservation la poussa mécaniquement, sans réfléchir, à plonger sous une table et éviter le jet de lumière funeste de justesse.

Marcus Crux ricana, comme possédé, s’avançant d’une démarche arrogante vers l’endroit où la musicienne s’abritait. L’ambiance générale avait changé. Même certains Serpentard ne riaient plus avec lui. La tentative d’emploi du sortilège de torture avait considérablement refroidi l’atmosphère.

« - Alors, Grail ? Qu’est-ce que ça fait d’être réduite à ramper sous une table ? Ce n’est que le début, crois-moi. Je vais te briser, te plier à ma volonté, et de toi il ne restera rien. Il faut bien que la purge commence quelque part. »

Malgré sa visibilité réduite de la scène, Winter perçut depuis son angle de vision l’expression horrifiée et apeurée de la jeune Hermione Granger. Malgré son habituel courage et ses connaissances encyclopédiques, la Gryffondor était pétrifiée d’effroi, craignant être la prochaine sur la liste à cause de ses parents moldus et de son amitié pour Harry Potter. L’expression de Winter se ferma. Elle ne devait pas faiblir. Elle était plus âgée que Marcus, après tout. Ce n’était qu’un gamin qui méritait une leçon, aussi dangereux soit-il.

« - EXPELLIARMUS ! »

La baguette de Winter cracha depuis le dessous de la table un éclair rouge puissant qui désarma instantanément Marcus Crux. Ce dernier ne vit pas l’attaque venir, pensant la musicienne prostrée et effarée. Cette dernière sortit aussitôt de sa cachette et se posta devant lui, affichant un regard déterminé.

« - Putain ! Sale… »

Il s’interrompit et blêmit en voyant la sorcière le pointer du bout de sa baguette. Plusieurs secondes s’écoulèrent, des gouttes de sueur perlant sur le front du Serpentard. Et soudain, il vit, médusé, la main de la jeune femme s’abattre sur sa joue.

« - Paf ! »

Un son cinglant, net, sec et précis, fendit l’air et résonna jusque dans les voûtes de la Grande Salle.


Texte publié par NoxND, 21 avril 2025 à 20h45
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