J'aime bien le changement de ton entre le début et la fin de ce récit. On commence avec un peu de frivolité, de légèreté. Puis on saupoudre d'un peu de magie et de mystère. Puis les souvenirs refont surface, et on ne peut que prendre parti pour Venice...

Les enfants peuvent être cruels entre eux... et les cicatrices laissées peuvent brûler à vie.

Belle nouvelle, cher Grimm. Je retrouve dans ces lignes tout ce que j'aime dans ta plume!