Aïe, ça pique de lire ce genre de choses qui correspondent autant à la situation que je vis. Je sais tout à fait ce que c'est de ne pas savoir se mêler aux autres, d'avoir l'impression que chaque parole venant des autres est un jeu où il faut deviner ce qu'iel a bien pu vouloir dire (le pire, c'est quand on commence un nouveau travail, combien de "jours d'essais" ai-je fait qui se sont soldés par un "on te rappellera" parce que j'avais mis les pieds dans le plat sans m'en rendre compte).

Je suis sûr.e que tu as des qualités. C'est juste que tu as eu le malheur d'être entourée de gens qui prenaient toute la place, qui t'étouffaient tant avec leur vie que tu ne savais pas quand tu avais le temps de ressentir, de vivre tout simplement. Ça va aller, j'en ai la certitude. En parler en écrivant cet essai est le premier pas ^^