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Le bar d’Alicia était rempli de clients comme à son habitude. Certains d’entre eux étaient présents pour oublier les problèmes de leur vie en commandant et buvant leur boisson favorite comme des ogres, d’autres étaient juste là pour passer de bons moments avec leurs amis devant un bon match de basket, et enfin, il y avait ceux qui étaient juste de passage, buvant seul dans leur coin et quittant les lieux sans adresser le moindre mot à d’autres personnes.

Veronica se trouvait derrière son comptoir et servait non-stop des verres de whisky, des bouteilles de bière, et autres amuse-gueules à ses clients. A côté d’elle se trouvait un de ses employés, un jeune homme brun d’une vingtaine d’années et répondant au nom de John. Ce dernier avait la charge du nettoyage des tables et de la livraison des boissons. A l’autre bout de la pièce, une femme d’origine asiatique tenant dans une de ses mains un plateau sur lequel se trouvaient de nombreux verres vides tandis qu’avec l’autre, elle nettoyait avec un torchon les traces d’alcool laissées par les précédents clients.

- Fuji ! Quand tu finis de débarrasser la table 9, tu t’occuperas de la 13, dit Veronica en remplissant un énorme verre de bière et en le servant à la personne devant elle.

- Ok madame, répondit la jeune femme.

Après avoir fini de frotter la surface de la table, Fuji posa le torchon sur son plateau, se dirigea à l’endroit qu’on lui avait indiqué, et recommença à nettoyer. Pendant ce temps, la propriétaire du bar, qui venait de recevoir une nouvelle commande de la part d’un client, se chargea de la lui servir. Une fois son verre en main et sa première gorgée prise, l’homme lui tendit de nouveau l’objet transparent et en profita également pour faire la conversation.

- C’est plutôt très animé ce soir, dit-il.

- Ça, vous pouvez le dire, rétorqua Garnier avec le sourire tout en versant du whisky dans son verre.

L’individu avala le liquide d’une traite avant de demander qu’on le serve à nouveau.

- Avec tous ses hommes, vous avez surement du connaitre quelques incidents. L’alcool a ce charmant petit pouvoir qui lui permet à la fois de noyer nos chagrins et de révéler notre nature animale.

- Monsieur est philosophe on dirait…

John qui n’était pas bien loin entendit la conversation que les deux tenaient et ne put s’empêcher de s’y immiscer.

- Vous n’avez pas à vous inquiéter pour elle, intervint-il.

- Et pourquoi cela, rétorqua le client, curieux.

- Ça doit être la première fois que vous venez boire chez nous. Tous les habitués de ce bar savent très pertinemment qu’il ne faut pas plaisanter avec la propriété de mademoiselle Garnier au risque de finir dans un sale état. Cette jeune femme ici présente est en réalité ceinture noire de Karaté. Vaut mieux donc ne pas s’attirer ses foudres, déclara John tout en nettoyant le verre qu’il tenait dans la main avec un chiffon.

- Eh bien ! C’est très impressionnant. De nos jours, il est très important pour une femme de savoir de se défendre. Ça l’est d’autant plus lorsqu’elle fait un métier comme le vôtre qui la pousse à rentrer chez elle tardivement, ajouta l’homme.

Le client vida de nouveau le contenu de son verre mais n’en demanda pas plus. Il prit son portefeuilles dans une de ses poches et en sortit quelques billets qu’il tendit à la jeune femme tout en la remerciant. Cette dernière les accepta et les plaça dans la caisse située derrière le comptoir. L’homme se leva finalement de son siège, souhaita une excellente soirée à Alicia et à John, puis s’en alla.

Veronica et John retournèrent vaquer à leurs occupations. L’alcool, les rires, les cris, et la bonne humeur coulaient à flot. Tout le monde profitait de l’instant présent tandis que la jeune femme arborait un grand sourire en voyant les billets rentrer de plus en plus dans la caisse. Les minutes puis les heures passèrent. Finalement, il ne resta plus qu’un tout dernier client dans l’établissement. Celui-ci était couché sur une des tables et semblait de pas pouvoir se déplacer convenablement.

- John, peux-tu appeler un taxi s’il-te-plait ? demanda la propriétaire du bar.

- Ok, je le fais tout de suite, répondit le jeune homme en sortant son téléphone portable de sa poche.

Tandis qu’il composait le numéro de téléphone, Alicia se dirigea vers cet homme qui avait vraisemblablement dépassé ses limites corporelles. Arrivée à ses côtés, la jeune femme rousse posa sa main sur son épaule et le secoua légèrement.

- Excusez-moi monsieur, il est temps de vous réveiller et de rentrer chez vous, lui dit-elle gentiment.

- Hmph ! C’est toi chérie, répondit le client à moitié conscient.

L’haleine de cet homme sentait tellement l’alcool que Veronica dut éloigner son visage lorsqu’il se mit à parler.

- Non monsieur. Je ne suis pas votre chérie mais la propriétaire du bar. Nous allons bientôt fermer donc nous vous prions de bien vouloir rentrer chez vous, rétorqua la jeune femme.

L’homme, qui avait désormais du mal à distinguer les formes, continua de se comporter de manière très inappropriée envers Veronica, allant même jusqu’à poser ses mains sur elle, ce qu’elle n’apprécia guère. Cette dernière ne lui en voulut cependant pas trop.

- Il en a encore pour longtemps ce taxi ? demanda-t-elle à John.

- Il devrait être là dans moins de cinq minutes, répondit le jeune homme.

- Bien. Viens m’aider à le transporter.

John, qui se trouvait à ce moment derrière le comptoir, accourut auprès de sa patronne. Les deux attrapèrent alors les bras du client, l’aidèrent à se relever, puis le conduisirent vers la sortie. Fuji vint également leur prêter main forte en ouvrant la porte d’entrée du bar.

Les jeunes gens sortirent de l’établissement pile au moment où le taxi vint se garer devant. Comme précédemment, la jeune femme d’origine asiatique les aida en ouvrant la portière de la voiture. Alicia et John se débattirent alors pour mettre le client sur la banquette arrière.

- Où voulez-vous que je le conduise ? demanda brusquement le conducteur en voyant l’état dans lequel se trouvait l’individu.

- Un instant s’il-vous-plait, répondit Garnier.

La jeune femme fouilla les poches de l’homme et trouva son portefeuilles. Malheureusement, aucun des documents présents à l’intérieur ne contenait son adresse. Celle-ci remit donc l’objet à sa place et dit au chauffeur de l’amener au commissariat le plus proche. Elle lui donna un billet prit chez l’homme inconscient et referma la portière du véhicule. Le taxi démarra ensuite, emportant avec lui un autre client qui avait dépassé ses limites.

Une dizaine de minutes s’était écoulée. Fuji et John venaient tous deux de finir leur service et s’apprêtaient à rentrer chez eux. Ils souhaitèrent alors une très bonne nuit à leur patronne qui faisait les comptes de la journée.

- Bonne nuit à vous aussi. Soyez prudent sur le retour, leur dit-elle.

Les deux employés quittèrent finalement le bar. La jeune femme ferma derrière eux, retourna la pancarte se trouvant sur la porte, puis repartit calculer les bénéfices de cette journée de travail. Dès qu’elle eut terminé sa tâche, elle rangea l’argent dans son coffre-fort et éteignit ensuite toutes les lumières du bar.

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Maintenant que tout le monde était parti, l’heure était venue pour Veronica d’aller s’amuser. Elle monta tout d’abord dans sa chambre dans laquelle elle alla récupérer plusieurs objets tels que les deux boites de médicaments qu’elle avait utilisées et des pinces à seins. Elle redescendit au rez-de-chaussée et prit cette fois-ci un plateau sur lequel elle plaça une bouteille d’eau, un verre, et les précédents objets.

La jeune femme prit la direction du couloir et se retrouva en face d’une première porte qui menait au sous-sol. Après avoir descendu les escaliers, elle fit de nouveau face à une porte. Alicia passa main sous la chemise à carreaux qu’elle portait et en sortit un collier au bout duquel se trouvait une clé. Elle introduisit cette dernière dans la serrure et pénétra dans la pièce. A l’intérieur, Chrees Moure était inconscient et toujours ligoté à sa chaise. La jeune femme déposa son plateau et remonta chercher un seau d’eau à l’étage.

Il lui fallut moins de cinq minutes pour faire l’aller-retour. Ni une ni deux, la demoiselle versa tout le contenu de son seau sur le jeune homme. Dès que le liquide rentra en contact avec la peau de Chrees, celui-ci se réveilla en sursaut.

- Qu’est-ce…où suis-je ? essaya-t-il de dire alors qu’il grelotait.

Lorsqu’il prit conscience de l’endroit où il se trouvait et vit la personne qui se tenait debout devant lui, le jeune homme se mit à nouveau à la traiter de tous les noms. Elle ne comprit cependant pas ce qu’il disait à cause de la boule de geisha qui était toujours présente dans sa bouche.

- Je vois que malgré ce qui s’est passé hier, ton caractère ne s’est toujours pas amélioré. Cela mérite une nouvelle punition, rétorqua la jeune femme en présumant ce qu’il disait.

En entendant le mot punition, Chrees changea immédiatement de comportement. Bien qu’il fût dans l’incapacité d’articuler ses mots, il essaya tout de même de demander pardon à la demoiselle. Il était cependant déjà trop tard. Sa décision avait déjà été prise. Tandis qu’elle s’avançait vers Moure pour lui retirer sa boule de geisha, son regard se fixa au niveau de son entrejambe. Elle constata que les testicules de ce dernier étaient rougeâtres et légèrement enflés.

- Peut-être que j’y suis allée un petit peu fort hier, dit la jeune femme en observant cette partie de plus près.

Garnier attrapa le pénis de son prisonnier et faire des mouvements de va-et-vient avec sa main. Ce dernier se mit alors à hurler de douleur.

- Yep, j’y suis allée fort. Bref, ce n’est pas grave. Une homme comme toi est capable de supporter une petite douleur de rien du tout, n’est-ce pas ? questionna-t-elle.

Ce fut avec les yeux grand ouverts que Chrees Moure observait le sourire narquois qui venait de se former sur le visage de la jeune femme. Il savait très pertinemment ce que cela signifiait pour lui. Alicia se redressa et passa derrière lui. Par la suite, elle détacha la sangle qui maintenant la boule de geisha en place.

- S’il-te-plait, je t’en supplie, pas ça, s’exclama le jeune homme.

Veronica ne l’écouta pas et partit vers son plateau. Lorsqu’il vit qu’elle recommençait à mettre le viagra sous forme de poudre dans l’eau, Chrees se mit à hurler de toutes ses forces.

- Au secours ! Au secours ! Venez m’aider s’il-vous-plait, hurla-t-il à plein poumon.

- Cela ne sert à rien de crier. Ces murs sont insonorisés, personne ne peut donc t’entendre, rétorqua la jeune femme.

Garnier, qui venait tout juste de finir son mélange, attrapa le verre et marcha vers son prisonnier.

- Ne t’approche pas de moi ! cria de nouveau Moure.

Comme précédemment, la jeune femme ne l’écouta pas et se contenta de faire pression sur sa mâchoire avec ses doigts. Il lui fit ensuite boire tout le contenu du verre puis le relâcha. Elle retourna déposer l’objet transparent sur le plateau et attendit que le médicament fasse effet.

Pendant ce temps, Alicia Garnier déboutonna progressivement sa chemise et la déposa sur à côté. Celle-ci fit de même avec son t-shirt, son pantalon, ainsi qu’avec ses chaussures. Comme la veille, la jeune femme se retrouva en petite tenue devant Moure. La demoiselle attrapa les pinces à tétons qui se trouvaient également sur le plateau et alla les placer sur le jeune homme. Ce dernier ne put s’empêcher de crier alors qu’elle tirait dessus pour voir s’ils étaient bien accrochés.

- Parfait ! s’exclama-t-elle.

L’érection forcée de Moure arriva finalement. Dès qu’elle la remarqua, Veronica retira le reste des vêtements qu’elle portait sur elle pour se retrouver complètement nue devant lui. La jeune femme se pencha en avant très lentement, prenant soin de bien montrer ses parties intimes à Chrees. Elle récupéra par la suite un préservatif dans une des poches de son pantalon et alla le plaça sur le pénis du jeune homme.

Garnier attrapa la bite de Chrees et l’enfonça progressivement dans son vagin. Elle se mit ensuite à faire des mouvements de va-et-vient mais dut s’arrêter deux minutes plus tard.

- Non, ça ne va pas le faire, dit-elle subitement.

Veronica se releva brusquement et quitta la pièce en courant. Elle monta vite dans sa chambre et se dirigea vers une des commodes. Elle l’ouvrit et en sortit une paire de menottes. La jeune femme retourna par la suite au sous-sol aussi vite qu’elle n’était montée.

De retour dans la pièce, la demoiselle défit les sangles qui retenaient les pieds et les bras de Chrees. Ce dernier en profita alors pour tenter de s’échapper mais sans succès. Alicia ne neutralisa sans grande difficulté avec un violent coup de pied en plein visage, ce qui envoya le jeune homme au sol.

- Tu aurais dû te laisser bien sagement. Maintenant, je vais encore devoir te punir pour ton mauvais comportement, rétorqua-t-elle.

Garnier mit Moure face contre terre, plaça ses mains derrière son dos, puis le menotta. Elle le retourna de nouveau pour que ce dernier lui fasse face puis, avec son pied, écrasa ses testicules.

- Ah ! Pitié arrête ! Je ne recommencerai plus, je promets, hurla le jeune homme.

Des larmes commencèrent à couler le long de son visage tandis que la douleur devenait de plus en plus insupportable. Veronica s’accroupit et attrapa la chaine qui reliait les différentes pinces à tétons entre elles et la tira violemment vers elle.

- C’est la dernière fois que je vais me répéter. Tu ferais donc mieux de m’écouter très attentivement. Ici, il n’y a personne d’autre hormis toi et moi. Tu es ma chose, mon objet, et en tant que tel, tu te dois d’obéir au moindre de mes ordres. Si je te demande de me lécher les orteils, tu le fais sans discuter. Est-ce que je me suis bien fait comprendre ?

- Oui ! hurla de nouveau Chrees.

- J’ai pas bien entendu, s’exclama la jeune femme en tirant un peu plus fort sur la chaine qu’elle tenait la main.

- J’ai compris ! J’ai compris ! Pitié, arrête !

- C’est bien ça. C’est même très bien. Tu vois que ce n’est pas compliqué d’obéir. Tes efforts méritent une récompense.

Veronica lâcha la chaine, qui tomba immédiatement après sur le torse du jeune homme, et retira aussi son pied de ses bijoux de famille. La jeune femme se positionna par la suite juste au-dessus du pénis de Chrees et descendit progressivement. Elle l’attrapa ensuite et le remit à l’intérieur de son vagin. Alicia posa ses mains sur le torse de Moure et commença à faire des mouvements de va-et-vient.

Garnier ferma les yeux et se mit à penser à d’autres personnes. Elle s’imaginait en train de chevaucher une des stars de cinéma qu’elle apprécia le plus. Surement à cause de son fantasme, la jeune femme commença à émettre des gémissements au bout de quelques minutes. Cette dernière saisit de nouveau la chaine et la tira. Moure cria de nouveau mais Veronica lui demanda de se taire. Il serra donc les dents et essaya de se retenir le plus possible.

Au bout d’une vingtaine de minutes, Garnier posa ses mains sur les épaules Chrees et l’aida à se redresser. Elle passa ensuite ses bras autour de son cou et repartit pour une nouvelle séance de va-et-vient. Pendant ce temps, la jeune femme gémissait non seulement à son oreille, mais la lui mordait également. D’ailleurs, ce n’était pas la seule partie de son corps à subir ce genre de traitement. Son cou et son dos ne furent pas épargnés. Ce fut ainsi durant de très longues minutes jusqu’à ce que le jeune homme finisse par jouir.

Comme à son habitude, Veronica ne se contenta pas de cela. Elle en voulait plus, beaucoup plus. Ce ne fut donc pas si étonnant de la voir continuer ses déhanchements alors qu’une quantité de sperme avait déjà déversée en elle. La jeune femme retira les pinces à tétons, plaça la chaine autour du cou de Chrees, puis le poussa légèrement. Ce dernier se mit à se débattre pour respire alors que l’objet métallique, qui était à cet instant tenu par Alicia, faisait pression sur ses voies respiratoires.

- Oui, c’est ça ! Continue de te débattre, c’est tellement excitant, dit Garnier qui accéléra brusquement le rythme.

Le fait de voir son prisonnier lutter pour sa vie excita grandement la jeune femme. Cette dernière utilisa alors sa main de libre pour caresser successivement sa poitrine et son clitoris.

Chrees finit par jouir une seconde fois quelques minutes. Ce fut à cet instant que Garnier décida enfin de changer de position. Elle lâcha donc la chaine, ce qui permit au jeune homme de pouvoir enfin respirer convenablement, puis se releva. Ce dernière attrapa par la suite les jambes de Moure et les positionna à 90 degrés par rapport au reste de son corps. Veronica s’accroupit de nouveau, saisit le pénis du jeune homme, et le remit à l’intérieur d’elle. C’était parti pour de nombreuses minutes dans une position qui ressemblait plus ou moins à une missionnaire inversée. Ce fut ainsi que Moure eut sa troisième éjaculation.

Voyant que le jeune homme recommençait à pleurer de douleur, Alicia éprouva un tout petit peu de pitié pour lui et décida de s’arrêter là. Elle se releva donc et retourna vers son charmant plateau sur lequel elle récupéra la boule de geisha. Elle revint vers Chrees, le redressa, et la lui inséra dans la bouche. Elle voulut alors le sangler de nouveau à la chaise mais se dit qu’il méritait une bonne nuit de sommeil pour une fois.

- Je reviendrai t’apporter à manger tout à l’heure. Demain soir, je te réserve une très belle surprise, dit-elle en ramassant ses affaires.

Chrees Moure se mit à imaginer les pires des supplices tandis que la jeune femme déposait tout son linge sur la plaque métallique. Cette dernière attrapa alors le plateau, se dirigea vers la porte, saisit la poignée, et l’ouvrit.

- Bonne nuit mon poussin, s’exclama-t-elle une dernière fois avec un sourire glauque sur le visage.

Veronica quitta la pièce, laissant ainsi un Chrees nu et fatigué couché à même le sol. N’ayant pas eu sa dose de plaisir, elle continua sa petite affaire toute seule dans sa chambre avec ses jouets.

A suivre !!!