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tome 1, Chapitre 1 « Day 01 » tome 1, Chapitre 1

Chrees Moure revenait progressivement à lui-même. Le jeune homme essaya de bouger un de ses membres mais fut dans l’incapacité de le faire. C’était un peu comme si quelque chose le retenait. D’ailleurs, ce fut également à ce moment qu’il se demanda pourquoi il avait si froid et ce qu’il avait dans la bouche. Chrees pensa qu’il avait dû à nouveau prendre un verre de trop et fini dans un coin paumé de la ville comme les précédentes fois. Malheureusement, il se souvint qu’il n’avait pas bu une seule goutte d’alcool la veille.

Le jeune homme se réveilla en sursaut avec une violente migraine. En voulant mettre sa main sur sa tête, il s’aperçut que celle-ci était ligotée à une chaise en acier. D’ailleurs, Chrees Moure se rendit très vite compte que tous ses mouvements avaient été restreints et qu’il se trouvait complètement nu. Son rythme cardiaque s’accéléra par la suite tandis qu’il regardait désespérément autour de lui.

- A l’aide ! tenta-t-il d’hurler.

Les sons qui sortirent toutefois de sa bouche ne ressemblaient en aucun cas à un appel à l’aide. D’ailleurs, ses propos étaient incompréhensibles. Un objet dans la bouche de Chrees l’empêchait d’articuler convenablement. Cela ne rassurait en rien le jeune homme qui se mit à imaginer toute sorte de scenarios dans sa tête. Moure commença à se débattre violemment dans son siège pour essayer de s’en libérer mais les liens retenant ses pieds et ses mains étaient beaucoup trop solides. Il chercha alors du regard s’il n’y avait pas un objet tranchant dont il pourrait se servir mais sans succès.

Après plus d’une dizaine de minutes durant lesquelles ils cherchaient des solutions pour se sortir de cette horrible situation, Chrees finit par abandonner tout espoir. Cet homme qui avait jusqu’à présent reporté la faute sur les autres, commença à se remettre en doute. Des larmes de regret se mirent alors à couler le long de son visage. Si seulement il avait pris d’autres décisions, peut-être qu’il ne se retrouverait pas dans une telle impasse, du moins c’était ce qu’il pensait à cet instant.

Tandis que Chrees Moure se morfondait sur son triste sort dans le froid et l’obscurité de la pièce dans laquelle il était ligoté, une douce mélodie parvint à ses oreilles. Cela ressemblait à de la musique et provenait non loin de sa position. En l’entendant, le jeune homme reprit espoir. Il hurla alors de toutes ses forces, il le fit si fort que ces cordes vocales devinrent clairement visibles. Le bruit d’une clé pénétrant dans une serrure suivi de celui d’une poignée que l’on tourne se firent entendre. Une porte s’ouvrit finalement. A cause de la lumière qui était dans son dos, le jeune homme ne put distinguer son visage. Cela ne l’empêcha néanmoins pas de continuer à crier à l’aide.

- Je vois que tu as repris connaissance, déclara cette personne.

Chrees Moure comprit immédiatement que l’individu qui se trouvait devant lui avait un lien avec la condition dans laquelle il se trouvait. La personne s’avança de quelques pas et le jeune homme constata que cette dernière tenait quelque chose dans ses mains. Son rythme cardiaque s’accéléra de nouveau alors qu’il imaginait toute sorte de chose.

- Il fait plutôt sombre ici, dit de nouveau cet individu.

La personne appuya sur le bouton de l’interrupteur qui se trouvait juste à côté de la porte et la pièce s’éclaira. Chrees Moure, qui avait passé beaucoup trop de temps dans le noir, fut immédiatement ébloui. Il fallut près d’une minute avant que ses yeux ne s’adaptent aux nouvelles conditions dans lesquelles ils étaient plongés. Dès que cela se produisit, quelle ne fut pas la surprise du jeune homme lorsqu’il se rendit compte que la personne qui se trouvait en face de lui n’était nulle autre que la femme qu’il avait agressée la veille.

A ce moment, le comportement de Chrees changea radicalement. Lui qui avait très peur quelques minutes auparavant, éprouvant désormais de la colère. Il se mit alors à insulter Alicia, à la traiter de tous les noms, et à lui promettre qu’elle ne s’en sortira pas aussi facilement. Bien évidemment, la jeune femme ne comprit pas ce qu’il lui disait.

- Un instant s’il-te-plait. Tout ce que tu racontes est incompréhensible, lui dit-elle avec un drôle de sourire.

Alicia Veronica Garnier referma d’abord la porte puis alla déposer le plateau qu’elle tenait sur une table située non loin. Sur ce dernier, il y avait un verre, un bout de papier, une bouteille d’eau, et deux boites de médicament.

La jeune femme s’approcha de Chrees qui continuait de déblatérer ses inepties et plaça ses mains derrière sa tête. Elle refit alors l’objet qui l’empêchait de bien s’exprimer et le retira. Moure vit alors qu’il s’agissait d’une grosse boule de geisha, un objet utilisé durant certains rapports sexuels. Cela l’écœura et accentua sa colère qu’il déversa immédiatement après sur Veronica.

- Sale Pute ! Comment oses-tu me faire ça ? Attends que je me libère et tu verras ce que je vais te faire, hurla-t-il.

- Oh la la ! Mais quel mauvais garçon. Il mérite bonne punition, rétorqua la jeune femme toujours avec ce drôle de sourire sur le visage.

- Tu m’as entendu Poufiasse ! Tu ne t’en sortiras pas ain…

Chrees n’eut même pas le temps de finir sa phrase qu’un violent coup de pied vint s’abattre sur son abdomen. Le choc fit cracher ses organes au jeune homme avant qu’il ne finisse à terre.

- Oups ! J’y suis peut-être allée un petit peu fort, dit Veronica.

La demoiselle avança vers Moure et l’aida à se redresser. Ce dernier se mit alors à tousser. Alicia retourna donc vers son plateau, attrapa la bouteille d’eau, et versa une partie de son contenu dans le verre. Elle saisit par la suite une des deux boites de médicament, en sortit un comprimé, l’écrasa sur le bout de papier grâce à une pièce de monnaie qu’elle sortit de sa poche, et déversa la poudre dans le verre. En le regardant de nouveau, la jeune femme se dit qu’un comprimé ne serait pas suffisant et en ajouta donc un deuxième. Veronica retourna ensuite auprès de son prisonnier et lui tendit le verre.

- Bois ! lui ordonna Garnier.

- Qu’est-ce que c’est ? Du poison ? Tu comptes me droguer et me tuer hein ? Sale pute, s’exclama à nouveau le jeune homme entre deux toux.

Devant le refus et l’insolence de son interlocuteur, Alicia n’eut d’autre choix que d’employer la manière forte. Elle saisit donc le visage de Moure, fit pression sur mâchoire avec ses doigts pour que ce dernier ouvrit sa bouche, et bascula sa tête en arrière. Par la suite, la jeune femme versa lentement tout le contenu du verre dans son orifice buccale. Chrees se retrouva dans l’obligation d’avaler s’il ne voulait pas que le liquide se répande dans ses voies respiratoires. Une fois qu’il avala la toute dernière goutte, Veronica le lâcha.

- Il ne reste plus qu’attendre qu’ils fassent leur effet, dit la jeune femme en retournant vers le plateau.

Garnier déposa le verre sur le plateau. Pendant ce temps, Chrees déblatéra à nouveau ses insultes.

- Sale chienne ! Qu’est-ce que tu m’as fait boire ? A l’aide ! Au secours, venez m’aider, cria le jeune homme.

- Tu fais tout ça pour rien. Personne ne viendra à ton secours. Ici, il n’y a que toi et moi, lui dit-elle.

Il ne fallut pas attendre très longtemps avant que les comprimés que lui avait donnés Alicia ne fasse effet. Lorsque Chrees vit son sexe se mettre en érection, il sut exactement quel médicament la jeune femme lui donna.

- Du viagra. Tu m’as donné du viagra pétasse, s’exclama-t-il.

Veronica lâcha un sourire qui n’annonçait surement rien de bon pour le jeune homme. Elle s’avança à nouveau vers lui et fixa ses parties génitales.

- Qu’est-ce…qu’est-ce que tu comptes faire ? questionna Moure, inquiet.

La jeune femme approchait sa main de ses testicules et lui donna une pichenette. Au premier abord, c’était un mouvement inoffensif, mais la réalité était tout autre. Ce petit coup provoqua une vive douleur chez le jeune homme qui ne put s’empêcher de lâcher un cris. Garnier réitéra son geste encore et encore. Voyant qu’il commençait à faire beaucoup trop de bruit, la jeune femme retourna chercher la boule de geisha sur la table et revint la placer de force sur sa bouche. Une fois cela fait, Alicia reprit de plus bel ce qu’elle faisait.

Des larmes coulaient le long du visage de Moure. La douleur devenait de plus en plus insupportable. Il voulait que cela s’arrête. D’ailleurs, il ne faisait que la supplier pour qu’elle stoppe mais aucun son cohérent ne sortit de sa bouche. Au bout de dix minutes de souffrance, Veronica finit par arrêter. Le jeune homme remercia le ciel pour cela. Il était très loin de se douter que son calvaire ne faisait que débuter. En effet, bien que Garnier eût terminé avec ses pichenettes, cela ne voulait en aucun dire qu’elle en avait terminé avec cette partie de son corps.

La jeune femme saisit violemment les testicules de Moure et pressa comme si elle voulait les voir éclater. Sans surprise, ce dernier se remit à hurler de douleur, mais elle était beaucoup plus intense cette fois-ci. A ce moment, Chrees regretta ses actions de la veille. Si seulement il avait su que la propriétaire du bar dans lequel il rentra était une psychopathe axée sur la torture, jamais il n’aurait mis les pieds dans ce bâtiment. Il était désormais trop tard. Alicia Veronica Garnier relâcha sa prise et laissa le jeune homme en état de choc.

- Maintenant que la punition est terminée, je pense que nous pouvons passer à la partie fun, dit la demoiselle.

Chrees qui était encore conscient au moment où elle prononça ces mots sentit un frisson parcourir l’ensemble de son corps. Lorsqu’il redressa sa tête pour la regarder, il constata que la jeune femme était en train de retirer ses vêtements. Elle commença par déboutonner sa chemise à carreaux et retira le t-shirt qu’elle portait en-dessous. La demoiselle fit de même avec son pantalon et sa paire de rangers. Veronica se retrouva finalement à moitié nue devant un individu en pleurs et souffrant énormément.

La jeune femme s’avança vers Moure, puis passa ses deux pouces sous sa petite culotte blanche. Elle la descendit alors très doucement. D’ailleurs, elle le fit lentement qu’on aurait dit que le temps venait de ralentir. Elle retira finalement sa petite culotte et la jeta sur son pantalon. Chrees avait devant ses yeux une jeune femme rousse d’une très grande beauté. Son regard s’arrêta cependant au niveau de son bas-ventre et du joli petit cœur roux qui s’y affichait.

- Alors, la vue te plait ? questionna Veronica avec le même sourire effrayant qu’elle avait précédemment affiché.

Le jeune homme émit de nouveau des bruits incompréhensibles, ce qui lui valut un coup de pied en plein visage. Moure tomba cette fois-ci sur le côté gauche. Garnier le redressa et lui posa encore la question. Il fit oui de la tête et se reprit à nouveau un coup. Ce fut avec la face ensanglantée qu’Alicia le repositionna une nouvelle fois.

- Alors, la vue te plait ? demanda-t-elle encore.

Ne voulant pas se prendre un autre coup de pied, ce dernier répondit non de la tête cette fois-ci.

- Tu ne me trouves donc pas sexy, répondit la jeune femme qui lui asséna un nouveau coup.

Cela faisait trois fois qu’il se faisait frapper. Peu importe les réponses qu’il allait donner, cette dernière finirait par s’en prendre à lui. Veronica le redressa une fois de plus puis se plaça devant lui, jambes écartées et bras croisés.

- Vous les hommes avez toujours exercé sur domination sur nous les femmes sans que l’on ne puisse rien dire. Et quand une des nôtres prend une décision pour son propre plaisir, vous la traitez de tous les noms et déchargez toute votre haine et frustration sur elle. Ecoute-moi très attentivement Chrees Moure…

Le jeune homme écarquilla grand les yeux lorsqu’il entendit Alicia Veronica Garnier prononcer son nom complet.

- Oui je connais ton identité. En tout cas, ta plus grosse erreur a été d’avoir voulu t’en prendre à moi et à mon établissement. J’aurai bien voulu te laisser partir en appelant la police, mais le comportement que tu as affiché à mon égard lorsque je suis rentrée dans la pièce m’a fait changer d’avis.

La jeune femme s’approcha de Moure, le regarda droit dans les yeux, posa sa main gauche sur son épaule, et serra fermement son pénis avec la droite.

- Tu ne sortiras pas d’ici tant que je ne l’aurai pas décidé. Je vais tellement bien m’occuper de toi que tu ne seras plus jamais le même. Mais avant tout, amusons-nous un peu.

Garnier lâcha le jeune homme, se redressa, puis alla chercher quelque chose dans la poche de son pantalon. Elle s’abaissa pour ramasser le vêtement, ce qui mit encore plus ses formes en valeur. Ce que Veronica récupéra n’était nulle autre qu’un préservatif. Elle déchira une partie de l’emballage pendant qu’elle retournait vers son prisonnier. Cette dernière plaça ensuite l’objet en plastique sur le gland de Chrees et le déroula tout le long de son pénis. La jeune femme se retourna et présenta son postérieur à Moure. Elle descendit alors lentement jusqu’à ce que la tête de bite de ce dernier ne touche l’entrée de son vagin.

- Tu en as en vie, n’est-ce pas ? lui demanda-t-elle en se déhanchant sensuellement.

Ayant peur de se prendre de nouveau des coups de pied en cas de réponse, le jeune homme ne bougea pas et n’émit aucun son. Veronica fit d’abord rentrer la tête, bougea ses fesses de gauche à droite pendant plusieurs secondes d’enfoncer le reste.

- Alors, qu’est-ce que ça te fait d’avoir ta bite dans la chatte de la femme à qui tu voulais dérober de l’argent ? questionna-t-elle à nouveau.

En voyant que son interlocuteur était beaucoup trop silencieux, la jeune femme attrapa de nouveau ses testicules et les pressa fortement. Chrees lâcha alors un hurlement de douleur qui fut couvert par la boule de geisha.

- Voila ! C’est beaucoup mieux, rétorqua-t-elle.

Alicia commença à faire des mouvements de va-et-vient tout en continuant de jouer avec les bourses de son prison. Ce dernier se retrouvait donc dans une situation où il souffrait et prenait du plaisir en même temps. La jeune femme montait et redescendait avec hargne. Elle appréciait visiblement les attributs de son charmant petit jouet.

Veronica lâcha un instant les testicules de Moure et prit appui sur la chaise. Elle intensifia alors ses mouvements de va-et-vient. C’était si fort que le jeune homme ne put résister plus longtemps et déchargea le contenu de son être à l’intérieur de la demoiselle, ce qu’elle sentit bien évidemment.

- Minute papillon ! Tu vas pas me dire que tu as déjà joui, dit-elle se relevant brusquement.

Garnier se retourna et observa un liquide blanchâtre présent à l’intérieur du préservatif. Bien qu’il ne l’affichât pas sur son visage, Chrees Moure était en parti soulagé. Ca faisait tellement longtemps qu’il n’avait pas eu de relations sexuelles.

- Tu ne penses tout de même pas que tu vas t’en tirer aussi facilement, rétorqua la jeune femme.

L’expression faciale que Veronica afficha était celle d’une psychopathe en manque, ce qui effraya le prisonnier.

Garnier revint se poser sur Chrees qui avait toujours son érection. Il introduisit de nouveau son pénis à l’intérieur d’elle et repartit de plus bel. La jeune femme le chevaucha sans éprouver la moindre once de pitié. Cette dernière pinça les tétons de son prisonnier et les tourna dans tous les sens. Elle prenait énormément de plaisir à le faire. Par la suite, la demoiselle passa sa main droite derrière et alla une fois de plus jouer avec les testicules de son partenaire de jeux.

Cela devenait insupportable pour Chrees Moure qui pleurait de plus en plus et secouait sa tête dans tous les sens.

- Qu’est-ce qui ne va pas ? Tu as mal ? demanda-t-elle sur un ton sarcastique.

Le jeune homme répondit oui de la tête encore et encore. Il voulait à tout prix qu’elle arrête. C’en était trop pour lui.

- Si j’avais été faible lors de notre rencontre et que tu t’en étais pris sexuellement à moi, aurais-tu arrêté malgré mes pleurs, mes cris de douleur, et tous mes efforts pour me sortir de cette situation ? Je ne pense pas. Lorsque vous les hommes laissez libre cours à vos pulsions, vous ne pensez absolument pas aux conséquences que cela pourrait avoir vos les victimes. Je ne vois donc pas pourquoi je devrai m’arrêter alors que je commence tout juste à prendre du plaisir.

Alicia Veronica Garnier reprit ce qu’elle faisait dès l’instant où elle finit de parler et, une dizaine de minutes plus tard, le jeune homme éjacula pour la seconde fois. Malheureusement pour lui, ce n’était toujours pas suffisant pour la satisfaire. Elle repartit donc pour un troisième tour.

Chrees Moure était dans un sale état. Non seulement ses testicules, ses tétons, son visage, et son abdomen lui faisaient mal, mais son pénis commençait lui-aussi à être douloureux. Les deux devaient être à leur quatrième tour d’affilé. S’il venait à éjaculer une nouvelle fois, il avait peur que cela soit du sang qui sorte à la place de sperme. Veronica, quant à elle, avait les bras autour de son cou et les yeux fermés. Cette dernière se mordillait les lèvres, respirait très vite, et émettait de touts petits bruits. Elle n’était plus tard loin de l’orgasme, ce n’était qu’une question de temps.

Cinq minutes après que Chrees eut de nouveau éjaculé, la demoiselle accéléra la cadence encore et encore jusqu’à ce qu’elle s’arrêtât brusquement et se mette à resserrer son étreinte autour du cou du jeune homme. Garnier resta immobile pendant deux minutes le temps de reprendre un rythme cardiaque normale. Dès que ce fut le cas, elle se redressa et regarda son prisonnier. Ce dernier était beaucoup plus tard qu’elle.

- Ouh ! Ça c’est ce que j’appelle s’envoyer en l’air, s’exclama-t-elle de bonne humeur.

Alicia se releva, retira le préservatif usager et la boule de geisha.

- De l’eau, j’ai soif ! rétorqua Moure une fois qu’il eut la possibilité de bien s’exprimer.

- Je t’amène cela tout de suite, répondit la jeune femme.

Veronica se dirigea alors vers son plateau, attrapa la bouteille, et versa le reste de son contenu dans le verre. Elle saisit par la suite la seconde boite de médicament, en sortit un comprimé qu’elle écrasa, et mit la poudre qui en résulta dans l’eau. La demoiselle apporta le tout à Chrees qui l’avala sans hésiter. Elle remit le verre à sa place et commença à se rhabiller.

- Je t’apporterai quelque chose à manger tout à l’heure, dit-elle après avoir enfiler son premier vêtement.

Pendant ce temps, le jeune homme avait de plus en plus sommeil. Au bout d’un moment, il ne put plus résister et ferma délicatement ses paupières avant de s’endormir. Alicia Veronica Garnier attrapa son plateau, éteignit la lumière, et sortit de la pièce en prenant soin de bien refermer derrière elle. Ce fut ainsi que le premier jour de captivité de Chrees Moure se termina.

A suivre !!!


Texte publié par Hell Rider, 4 octobre 2020 à 04h43
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